RGPD et ticket de caisse : ce que dit la loi
Avec la généralisation du ticket de caisse numérique, de nombreuses questions se posent sur le traitement des données personnelles en point de vente. Quelles sont vos obligations en tant que commerçant ? Que permet réellement le RGPD dans ce contexte ? Voici les points essentiels à connaître.
1. Un ticket n’est pas toujours une donnée personnelle
Un ticket papier anonyme ne contient pas, en soi, de donnée personnelle. En revanche, dès qu’un ticket est envoyé par email, stocké sur un compte client ou lié à une identité, le RGPD s’applique pleinement.
2. Le consentement est indispensable
Vous devez obtenir un consentement clair et explicite avant de collecter des données comme l’adresse email, le numéro de téléphone ou tout autre identifiant lié à un ticket dématérialisé. Pas de cases pré-cochées ni de consentement implicite.
3. Droit à l’information et à l’accès
Le client doit être informé de manière transparente : pourquoi ses données sont collectées, combien de temps elles sont conservées, et comment les consulter ou les supprimer. Affichez clairement ces informations en magasin ou dans le ticket lui-même.
4. Minimisation des données
Ne collectez que ce qui est strictement nécessaire à la délivrance du ticket digital. Par exemple, proposer un QR code à scanner en caisse ne nécessite aucun email, et reste une solution totalement RGPD-friendly.
5. Sécurité et traçabilité
Les systèmes de ticket digital doivent garantir la confidentialité, l’intégrité et l’accessibilité des données. Une solution comme ScanTicket Pro stocke les informations localement ou via un cloud sécurisé, avec historique et traçabilité.
Conclusion : Le ticket numérique est parfaitement compatible avec le RGPD, à condition de respecter les principes de consentement, transparence et sécurité. En choisissant une solution conforme comme ScanTicket Pro, vous protégez vos clients — et votre entreprise.
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